Le congé proche aidant

[et_pb_section fb_built= »1″ _builder_version= »4.16″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_row _builder_version= »4.16″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_column type= »4_4″ _builder_version= »4.16″ _module_preset= »default » global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content »][et_pb_text _builder_version= »4.17.3″ _module_preset= »default » hover_enabled= »0″ global_colors_info= »{} » theme_builder_area= »post_content » header_2_font_size= »18px » sticky_enabled= »0″]

Comment bénéficier de l’allocation journalière ?

Venu remplacer en 2017 le congé de soutien familial, le congé de proche aidant offre la possibilité à un salarié de prendre quelques jours ou de réduire son activité, pour s’occuper d’un proche en perte d’autonomie. Jusqu’ici non-indemnisé, ce congé est, depuis le 1er octobre 2020, désormais assorti d’une compensation financière partielle permettant d’en bénéficier plus facilement.

Qui peut en bénéficier ?

L’allocation journalière du proche aidant est versée à un salarié du secteur privé ou public, à un travailleur indépendant ou à un demandeur d’emploi qui s’occupe d’une personne faisant l’objet d’une perte d’autonomie d’une particulière gravité.

Quelles sont les démarches pour l’obtenir ?

Dans le cadre d’un congé de proche aidant, la demande d’allocation doit être effectuée sur le site de la Caisse d’allocations familiales (CAF) ou de la Mutualité sociale agricole.

[/et_pb_text][/et_pb_column][/et_pb_row][/et_pb_section]
Partager ce post
Aller au contenu principal